Dakar, capitale des opportunités
La capitale sénégalaise représente un lieu d'opportunités uniques pour les investisseurs immobiliers, avec une croissance élevée et un potentiel de développement qui reste intact, grâce à une stabilité politique et économique unique sur le continent africain, et grâce aussi à la présence des grandes institutions internationales : ONU, Banque mondiale, Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'ouest.
Une ville-chantier à ciel ouvert
Le secteur de l’immobilier à Dakar connaît depuis une décennie une ascension constante. Depuis 2001, non assiste à une montée des rendements locatifs, ce qui fait que la moyenne des loyers a doublé entre 2001 et 2015. Depuis l’avènement du boom immobilier, de nouveaux quartiers et cités ne cessent de sortir de terre : la Cité Keur Gorgui, la Cité Batrain, la Cité de la Paix - Mixta et la Cité Tobago qui dans l’ensemble sont des projets de moyen standing. Ils sont venus occuper les derniers espaces encore disponibles à Dakar.
Les vecteurs de croissance du marché immobilier à Dakar sont multiples :
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Chaque année, on compte 200 000 nouveaux Dakarois ; soit un taux de croissance annuel supérieur à 8% ;
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Pouvoir d’achat en hausse, développement d’une classe moyenne et d’une classe aisée à la recherche de produits haut de gamme ;
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Apparition de centres commerciaux de luxe (Sea Plaza) et installation d’enseignes occidentales ;
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Essor des activités bancaires et d’assurance (les établissements de crédit affichent un bilan total de 4 672 milliards de FCFA en mai 2015 – progression de 13% en un an) ;
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Le Plan Sénégal Emergent (PSE) a défini des secteurs porteurs tel que l’agrobusiness, les TICs et les infrastructures ;
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6,8 % de croissance du PIB en 2017 ;
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Hausse des investissements directs étrangers (353 Millions de USD en 2014) ;
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Rente migratoire (1,2 milliard d’Euros) ;
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Notation économique : B+ par S&P ; B1 par Moody’s.
Une offre en pleine croissance
Offre résidentielle :
• Parc de logement estimé à près de 400 000 unités dont un parc locatif d’environ 200 000 unités, selon les intervenants du marché et différentes études ;
• 51% des logements concentrés à Dakar dont 52,3% dans le bas standing, 41,8% dans le moyen standing et 5,9% dans le haut standing (ANSD) ;
• 1 000 logements produits par an en moyenne ;
• Arrivée de 60% des promoteurs sur le marché depuis 2000 ;
• Faible production imputable à la spéculation foncière et aux faibles capacités financières face à des coûts de production élevés.
Offre de commerces :
• Loyers prime de Dakar estimés à 307 Euros/m2/an ;
• Emergence de nouveaux pôles, en particulier sur la VDN où Orange, Ecobank ont construit leurs sièges et à Ouakam où Teylium a développé le Centre ATRYUM (bureaux) ;
• Rareté et cherté des terrains au Sud, d’où une offre limitée en Haut et moyen standing ;
• Offre limitée en centres commerciaux et magasins inadaptés à la clientèle au fort pouvoir d’achat.